Bleu de Mer 2015 (IGP Pays d'Oc)

Bernard Magrez est plus qu'un négociant, il a commencé dans la vente de spiritueux le siècle passé. Aux années 80's il vend ses alcools et recommence cette fois dans le monde du vin. À partir de là, le bordelais sera son fief d'où il se consacre comme un nom propre dans le monde du vin français. Voici un de ses rosés issu du Grenache et du Cinsault.

Couleur rose-saumon pâle typique du sud-est français. Un nez pour l'agrumes comme le citron et la nectarine, un peu de fruits rouges avec une timide touche de fleurs et pré après la pluie. Entrée délicate et souple avec une suivie fruitée, vife et acide qui donne ampleur et fraîcheur. Finale ardente (12'5 % de tenue alcoolique) qui apporte persistence et d'echos de fruit blanche d'os à l'avant-goût.

Jeunesse, puissance et vivicité sont trois adjectifs à mon avis liés ce-ci vin blanc. L'élegance des vins du sud de la France est une vertue a tenir en compte quand le soleil arrive. Et ici avec un prix de 6'30 euros +- on pourra bien jouir face une salade de fruits de mer, un poisson grillé et une belle femme.

Enate Cabernet Merlot 2012 (DO Somontano): ¿Es Francia el modelo a seguir en esta denominación?

Bodegas Enate, la cual visitamos en su día, es una empresa de altos vuelos tanto en volumen de producción como en tamaño de instalaciones, está situada a las afueras de Barbastro, en el lugar de Salas Bajas. Como curiosidad, hay en su interior una sala de exposiciones donde se reúnen todas las ilustraciones que aperecen en las etiquetas de los vinos Enate.


Nota de Cata : Capa media alta y numerosa lágrima que además está coloreada. Nariz de media intensidad donde aparece la ciruela confitada tan típica del Merlot acompañada del caramelo y la flor azúl. Boca densa, franca, golosa y afrutada donde está presente el sello tan característico de los tintos del Somontano. Buen frescor a partir del tercer trago. Final cálido que no molesta, sino que equilibra el conjunto.


Si le interesa saber más de la D.O. Somontano, pinche aquí. Buena relación calidad / precio que se justifica con sus casi 6 euros de pvp para este 50% Merlot 5o% Cabernet. Sin salir de bodegas Enate también se habló en este vuestro Blog del Enate Tapas, el Enate Cabernet Cabernet , Enate Crianza y Enate Chardonnay.

Château la Tour Blanche 1er Cru Classé (AOC Sauternes)

Ma première expérience dans le monde du vin a eu lieu au Château la Tour Blanche, (commune de Bommes, à 3 km. au nord de Sauternes). Deux jolis mois que je me suis plongé dans la vie d'une école-chai et où je me suis fait entourer par des véritables professionnels.

Le premier jour : tri en vignoble. Une vendange où il faut sélectionner que les grapes botritysés,car il y avait aussi des grapes avec pourriture acide ou, par contre, des grapes pas encore mûrs (et tout les deux ne nous intérèssent pas en cave). Au chai attendait le nouveau maître de chai M. Pélicano pour séparer les jus de raisin selon ses qualités et pour en garder les meilleurs pour le futur Château la Tour Blanche.


Donc, un interminable tri des grapes, d'abord plusieurs reprises sur le terrain et finalement sur la table de tri. Grâce la girafe mécanique (et à moi) sera posible remplir les deux pressoirs pnéumatiques horizaontaux en cave. Le pressurage tout à fait contrôlé et programmé va continuer avec le débourbage en cuves spéciales. Mais, avant commencer la fermentation alcoolique dans les fûts de chène il faut garder les jus de raisin protegés dans des cuves inox afin choisir seulement les mieux moûts Sauvignon / Sémillon / Muscadelle, (ceux qui ne sont pas top deviendront en 'Brumes' et 'Charmilles').

J'ai pu participer dans la plupart de tous ces processus avec mon bon Xabi et ma petite Alice, deux super collègues qui y faisaient un CDD alternance. Côté viticulture je n'oublierai pas le savoir faire d'Éric, l'expérience de Martine ou l'humeur des tractoristes. Il y a plus des personnes, tous ceux qui travaillent à l'école et, sur la direction, M. Barrau aujourd'hui en heureuse retraite.


Donc, la fermentation alcoolique aura lieu aux fûts de chêne français neufs lors d'environ 2 semaines jusqu'à l'arrêt par mutage au SO2 lors que les mouts atteignet 14% de volume d'alcool. Afin de garantir la fermentation et bien arriver aux densités de 1050 plus ou moins il faut de temps en temps utiliser “stimulants” de fermentation ou écorces de levures.

Finalement c'est l'heure de l'élévage sous bois, ici avec une durée de 2o / 24 mois, suffisants pour apporter toute la complexité et l'élégance q'un 1er Cru Classé mérite. Pas de bâtonnage mais de ouillages réguliers et puis un soutirage chaque 3 mois. L'assemblage essaye de suivre un critère de prédominance pour le Sauvignon (83 %), suivi par le Sémillon (12 %) et la Muscadelle (5 %) avec un résultat qui s'approche au nectar des dieux:


Millésime 2011: Dernière cuvée de M. Faure. Une couleur jaune citron aux reflets dorés. Des tartres en fin de bouteille. Un nez explosif: iode, chocolat blanc, fruits rôtis... Une bouche impérialement ample d'une intensité extraordinaire. La fraîcheur ne se cache pas rahaussant un ensemble énorme: écorce confite,chocolat blanc, épice douce, figue, les iodés encore comme signature sauternaise... Une longue finale sur les rôtis délicieux et fumés éclipsant ses 14% vol naturels.
 
Millésime 2010: Avant-dernière cuvée faite par l'ancien maître de chai Jean-Pierre Faure. Plus rafraîchissante au nez et aussi plus acide par rapport la millésime précédente mais aussi une bouche qui va garder le duceur et le caractère de l'année 2009. À garder plus de 1o ans facilement. Valorisé en 49 euros.

Millésime 2009: Couleur jaune avec la robe dorée. Nez explosif, liquoureux avec une belle présence des barriques. Et après bouger la verre, souviens résineux. Une bouche etilique et liquoureuse, qui se déroule avec ampleur au palais. Très longue finale et bonne persistance. Valorisé en 49 euros.

Millésime 1989: Un joli or vieux dans la verre. Un nez liquoreux avec des souviens résineux et aciérés. Une entrée puissante avec une suivie avec ampleur et volume capable de faire accord avec des plats de viande même. Il y a aussi une belle acidité avec des touches iodés. Finale longue et chaleureuse.

Millésime 1962: Aux yeux une couleur ambrée avec la robe or foncé. Un nez torrefié,
iodés, avec un côté mansarde, caramel ou mercurochrome. Entrée en bouche douce et très velouté, une suivie d'acidité bien intégrée qui rend une finale très longue. Avant-goût pour des souviens de vieux vin. 258 € en magnum.

Martín Berdugo joven 2015 (DO Ribera del Duero): la mejor bodega de Aranda te espera

Bodegas y Viñedos Martín Berdugo aparte de ser el proyecto vinícola más interesante de Aranda de Duero (Burgos) es la primera bodega que ha estrenado la sección ¿Te Cato? de este blog, desembocando en una visita muy muy interesante de la que escribiré durante varias entregas.

Esta bodega, a las afueras de Aranda está abrazada por 87 hectáreas de viñedo que miran de tú a tú al Duero, pues este río se encuentra a poquísimos metros. Tuve el placer de caminar sobre esos suelos aluviales junto a Antonio Díez, el gerente de este proyecto familiar llamado Martín Berdugo en honor a los apellidos de la matriarca de la familia. Volviendo sobre el terreno, dedicado totalmente a la Tinta del País, hay que destacar el uso de cubierta vegetal para regular el ciclo vegetativo de la vid, cubierta en este caso compuesta de cereal y algo de leguminosa.


Digamos que este viñedo vive en dos ambientes, uno de ellos situado a continuación de la bodega se caracteriza por un suelo de cantos rodados, sedimento aluvial que cubre unos suelos pobres donde la raíz se ve obligada a “estirarse” para encontrar el sustrato, traduciéndose en vinos complejos ideales para envejecer. Por otro lado, el Tempranillo que mira al Duero va a convivir con una humedad lógicamente más presente y con partículas mucho más finas en su superficie, por lo que aquí la cubierta vegetal va a ser más necesaria. ¿Resultado? una materia prima destinada con toda la intención a dar un tinto lleno de juventud y tipicidad como este:


Nota de Cata: Al verter en copa nos recibe un burbujeo que ya denota juventud, consolidándose después en forma de capa alta e incluso de lágrimas coloreadas. Nariz intensa con mucha fruta joven, confieso que un aroma que sólo he encontrado en los auténticos Ribera del Duero. Boca con mucha viveza, de elegante paso pero no por ello exento de carácter. Acidez muy bien controlada así como sus 14'5% de alcohol y tanino en su sitio. Final cálido y con una larga persistencia donde vuelve la grosella roja.

Un vino como veis con una historia detrás y con toda la intención para ser lo que es. Calidad en todos los lados: en vista con ese color que se manifiesta incluso en las lágrimas, calidad olfativamente con esa fruta tan Ribera del Duero, y calidad en boca con ese final bien persistente. La relación calidad/precio está por lo tanto a la altura de lo relatado (5'61 euros). Este jovencito se va a disfrutar sobre todo en compañía, entre amigos y anima a seguir probando el resto de referencias de esta Casa.

Alborada Verdejo (DO Rueda): un posicionamiento muy chino para llegar a los 5 continentes

¿Qué fue del bar B30, en la C/ Bretón, 30 ? Recuerdo que mi autoescuelero la llamaba la 'calle de la muerte' porque muchos coches paraban en doble fila impidiendo un tráfico fluído. Por lo demás, un local que abrieron dos jovenes y que, desde hace ya tiempo, está regentado por unos chinos...

Nota de Cata 2015: Color amarillo pajizo limpio. Nariz intensa que combina herbáceos con melocotón pues no es sólo Verdejo (85%) sino también Sauvignon Blanc (1o%) y Viura (5%). Boca con nervio, acidez y buena persistencia. Final para los cítricos, herbáceos de nuevo y fruta blanca de hueso. Bodegas Aura lo valora entre 4 y 5 euros.

Pues en ese bar pedí este Rueda (entre otras referencias) dadas sus buenas condiciones para el análisis sensorial: podía decirse que su diseño moderno en blanco nuclear lo hacía idóneo para una cata como Dios manda. Hoy día sirven en ese local referencias como Las Campanas Rosado, o el Beronia (otro clásico de esta ciudad).

Baltos Mencía 2012 (DO Bierzo): Dominio de Tares extrae con maestría la exhuberancia de su uva

A 2o km al este de Ponferrada se sitúa Dominio de Tares (Grupo Empresarial Dominio de Tares), bodega fundada en el año 1999 que propone un producto de calidad en base a las variedades del Bierzo. ¿Y quién es el que sabe aquí? Pues Rafael Somonte, gerente y enólogo asturiano que ha demostrado que juventud y savoir faire son buen compatibles. Una de sus obras, esta referencia: un crianza 1oo% Mencía que expresa todo el carácter del terroir de San Román de Membibre.

Nota de Cata: Corcho definitivamente afectado por los 6 meses de envejecimiento como debe ser. En nariz ya muestra calidad : notas de barrica americana (aunque también hay francesa) junto a fruta silvestre y balsámicos (tabaco, eucalipto...). Todo ello en alta intensidad. Entrada afrutada y golosa que repentinamente se abre y explosiona en boca mostrando carnosidad y volumen. El frescor ayuda a equilibrar el desarrollo con ese puntito de nervio, que viene matizado por notas especiadas y minerales. Final cálido para sus 14 % de volumen en alcohol, antesala de una retronasal para la grosella y la madera, persistentes ambas.

Muy positiva es mi opinión para este tinto de viñas cuarentonas que además es el más joven de la gama “pese” a sus seis meses de crianza. Me ha recordado a los crianzas riojanos por esa caricia de roble americano y esa acidez pronunciada y comparable a un Haro, a un Fuenmayor... Su pvp se mueve en torno a los 9 euros, donde se vé ahora sí que es un DO Bierzo y no un DO Rioja. Híceme con él en la sección de vinos de una conocidísima cadena española de grandes almacenes (es la que estáis pensando). En todo caso un Mencía señorial, elegante y que cubrirá todos los maridajes en base a caza mayor, grandes asados, ragús...lo recomiendo.

Castillo de Olite rosado (DO Navarra): una Garnacha Tinta de supermercado muy golosa y Foral

Olite, en el corazón de la Comunidad Foral de Navarra es el pueblo elegido para dar nombre a este rosado. Y es que su castillo es uno de los monumentos más importantes de toda la región. Pero es 25 km al norte de aquí, concretamente en Tebas - Muruarte de Reta (muy cerquita de Pamplona) de donde realmente sale esta Garnacha.

Nota de Cata 2014: Color de un rojo anaranjado sin defectos. Intensidad media en nariz, donde se perciben notas de piruleta, cítricos, fresa o prado navarro recién cortado. Entrada en boca dulce y afrutada, que enlaza con una calidez que le pone algo de volumen. Final cálido patrocinado por 13'5 grados de alcohol que equilibran el conjunto y dejan un rosado aceptable.

Todoelvino blog, siempre en defensa de los rosados navarros tiene un compromiso con estos vinos. El de hoy, ideal para los primeros calores del año, se disfruta a eso de 11º C en cualquier momento del día, con una ensalada de verano, pasta con salsa Roquefort, una escalibada de la huerta navarra o de terraceo con los amigos. Su precio, 2'35 euros.

NY Hood Moscato Blanco (DO Valencia - Moscatel): bodegas Reymos va a por Estados Unidos!

Moscatel de Alejandría dirigido al mercado neoyorquino, quizá para que sepan a qué sabe esta variedad. Y es que este mercado, el norteamericano, aprecia los vinos equilibrados y dulces, como el de hoy, que llega desde bodegas Reymos (Cheste, en la subzona del Moscatel de Valencia).



Nota de Cata: Color plateado con destellos verdosos, poco común. Ni una lágrima que evidencia su sólo 5% de contenido en alcohol. Nariz intensa y varietal (flor blanca, miel, azahar, a tope de melocotón...). Entrada dulce y amplia gracias al carbónico. Franco desarrollo con ecos chispeantes que ya languidecen. Final dulce y femenino donde vuelve la fruta blanca de hueso.


Muy agradable de beber. El vino que le daríamos a una sobrina menor de edad si nos dijera que se va de botellón sí o sí. Parece ser que esta misma referencia se enfoca al mercado español bajo la etiqueta de 'Moscato Blanco Amatista' y con un precio de 2,15 euros, que a mi juicio son acertados.

Care Nouveau (DO Cariñena): la cara aragonesa del Beaujolais, para muchos nuevo y bien fruité

Los vinos 'Beaujolais Nouveau' son los vinos “de cosechero” producidos en la zona que va desde el norte de Lyon hasta el sur de la Borgoña. Tales vinos se caracterizan por ser, para muchos paladares ibéricos, ligeritos y en el peor de los casos, aguachirri, pero más allá de ahí es un negocio redondo para los 'vignerons' de esa zona, pues consiguen que los snobs del vino señalen en el calendario la fecha de salida del nuevo 'nouveau'.
 
 
Nota de Cata 2020: Una añada donde entra la variedad Tempranillo y cuyo clarificado sin proteína declara este producto como vegano. Una capa muy cubierta como en años anteriores con esas lágrimas fúcsias de manual. Una nariz para la fruta fresca pero madura macerada en licor. Estamos hablando de mora, cassis o frambuesa. Una boca con densidad, buena estructura y con esa fruta tan particular que en esta añada ya recuerda más seriamente a los Maceración Carbónica alaveses. Más cuerpo que en añadas anteriores pero con ese recuerdo de caramelo de fresa y esos ecos lácticos tan singulares.
 


Nota de Cata 2018: Visualmente una buena extracción marcando la diferencia con los Gamay franceses. Destaca la lógica juventud en esos destellos fúcsia. En nariz se aúna toda la gama de frutos de baya del bosque (grosella, frambuesa, mora) con recuerdos de banana, flor azúl y tierra batida. Una boca intensa, amplia y golosa pero que nunca se hace pesada. La fruta y una buena acidez son protagonistas. Todo ello lo sostine un eco especiado y láctico que nos recuerda a ese yogur de arándanos del supermercado.
 
 

Nota de Cata 2015: Botella borgoña style y diseño cubista para este 1oo % Garnacha de capa media y disco que denota juventud. En nariz fruta joven en mediana intensidad. Boca golosa, muy viva, con mucha fruta de baya concentrada que evidencia su maceración carbónica. A continuación llega la acidez que aporta frescor y nervio. Final largo que combina calidez con fruta joven one more time.
 



 
 
A mi juicio es un buen vino del año y que tiene una buena relación calidad-precio por sus más o menos 3'50 euros. Aún así, lo tendrá difícil para desbancar a su “primo” el Care Tinto Roble, que es el vino preferido de todos los hosteleros de Zaragoza. Una propuesta original diferente de los Beaujolais franceses y de los tintos de cosechero alaveses.

Cal y Canto Verdejo (IGP Castilla): Manzanares, en el corazón manchego, no sólo es tinto

Cal y canto es donde crecen las viñas de bodegas Isidro Milagro, en el corazón de la provincia de Ciudad Real. Dicha bodega se sitúa en la localidad de Manzanares, famosa por su Feria de Maquinaria Agrícola (FERCAM), la Feria Nacional del Queso, que se hace en abril y por las fiestas patronales de Nuestro Padre Jesús del Perdón.


Nota de Cata 2015: Este Indicación Geográfica Protegida 1oo% Verdejo tiene color amarillo pajizo con matices plateados. Intensidad media en nariz, se rescatan recuerdos de manzana, fruta tropical o pradera. Boca ligera, femenina, afrutada, con buen frescor que le pone nervio al asunto. Final corto. Va de más a menos.


Queso, vino, buena gente... ¿qué más queréis? Yo sólo sé que en Septiembre, si mis amigos de Manzanares me invitan, allá que ire para honrar a Nuestro Padre Jesús del Perdón a golpe de Tinto Fino y Verdejo. Respecto al de hoy, precio muy a la altura de lo que ofrece : 1'73 euros (lo mejor junto con su aroma).